- Format
- Poche
- EAN13
- 9782312044873
- ISBN
- 978-2-312-04487-3
- Éditeur
- Les éditions du Net
- Date de publication
- 24/06/2016
- Nombre de pages
- 50
- Dimensions
- 19 x 12 x 0,4 cm
- Poids
- 60 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Résumé :
Seul le langage est une arme, et le savoir en sont les munitions ; si bien qu’en une assertion, je terrasse le chien de la casse Mesley : « Le Seau d’Eau Mythe est un vagabond dans la destinée humaine dont le besoin essentiel est une croupe de pain. »
Ainsi, Mesley et sa lubrique mendicité n’ont d’égale que son indigeste mythomanie autant qu’il se distingue par une propension phénoménale et maniaque à harceler les femmes dans un enthousiasme particulièrement puéril, soutenu et défendu par les vilaines héritières de la puterie et de la jacasserie : Marguerite Yogourt et Swastika d’Enfer.
Depuis la publication de Métro Boulot Seau d’Eau, ces trois zozos de la violence salariale sont devenus méconnaissables ; Mesley BRAS-MINI est amoureux de son reflet pendant que Marguerite à la chatte laminée comme un pancake éclaté, et Swastika est une biscotte qui n’arrive plus à se faire tartiner.
Je viens leur adresser mes plus vives exclamations en précisant, à ces personnages déjà poussiéreux, que j’ai la réflexion aiguisée par le tranchant d’un sabre, dès lors, imagineront-ils la célérité de mes points ?
À chaque jour me suffit mon bol de riz et l’heure n’est plus, tout compte fait, à la drôlerie : « Je vais vous en saigner très nettement ce qu’est la moquerie ! » Vous avez des conversations déguisées tandis que j’ai l’écriture travestie alors, imagineront-ils la polymorphie de mon esprit ?
À bon entendeur, Grand malheur.
Soufiane Baloui
Seul le langage est une arme, et le savoir en sont les munitions ; si bien qu’en une assertion, je terrasse le chien de la casse Mesley : « Le Seau d’Eau Mythe est un vagabond dans la destinée humaine dont le besoin essentiel est une croupe de pain. »
Ainsi, Mesley et sa lubrique mendicité n’ont d’égale que son indigeste mythomanie autant qu’il se distingue par une propension phénoménale et maniaque à harceler les femmes dans un enthousiasme particulièrement puéril, soutenu et défendu par les vilaines héritières de la puterie et de la jacasserie : Marguerite Yogourt et Swastika d’Enfer.
Depuis la publication de Métro Boulot Seau d’Eau, ces trois zozos de la violence salariale sont devenus méconnaissables ; Mesley BRAS-MINI est amoureux de son reflet pendant que Marguerite à la chatte laminée comme un pancake éclaté, et Swastika est une biscotte qui n’arrive plus à se faire tartiner.
Je viens leur adresser mes plus vives exclamations en précisant, à ces personnages déjà poussiéreux, que j’ai la réflexion aiguisée par le tranchant d’un sabre, dès lors, imagineront-ils la célérité de mes points ?
À chaque jour me suffit mon bol de riz et l’heure n’est plus, tout compte fait, à la drôlerie : « Je vais vous en saigner très nettement ce qu’est la moquerie ! » Vous avez des conversations déguisées tandis que j’ai l’écriture travestie alors, imagineront-ils la polymorphie de mon esprit ?
À bon entendeur, Grand malheur.
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