Admiration totale pour cet enivrant écrivain qu'est Dimitri Rouchon-Borie. Une vraie identité d'écriture et un style maintenant identifié et confirmé.
Il poursuit son exploration des marges dans ce roman, cette fable démoniaque de la noirceur et de l'espoir parfaitement domptée.
Sans conteste l'une des pépites de cette rentrée d'automne.
Lecteur.ices de "La colline au loup", foncez ! Pour les novices, accrochez-vous et découvrez !

Guillaume, libraire Charlemagne Toulon

Quand la narratrice tombe sur une vieille photo de sa tante Madeleine, elle va soudain chercher à remonter le temps pour comprendre la vie de cette femme.
Madeleine est nantaise mais va suivre son mari à Douala au Cameroun, dans les années d'après-guerre.
Une Afrique rêvée où le climat politique va progressivement s'emplir de tensions ...
Madeleine est belle, discrète, nostalgique et fera la connaissance d'un homme.
Une façon d'aimer est le portrait d'une femme et d'une époque, plein de délicatesse et de douce nostalgie.

Manon, libraire Charlemagne La Valette

C'est le bonheur absolu !
Boris vient d'apprendre que son scénario a été accepté avec enthousiasme et qu'un superbe film va voir le jour.
Il suffit juste de régler quelques "menus détails" ...
Malheureusement, rien ne va se passer comme prévu !
Promis, vous allez pleurer ... mais de rire !

Anne, libraire Charlemagne Toulon

Un fascinant personnage de berger qui mise tout en quittant ses montagnes par amour. Un très beau roman sensible et touchant de Pierric Bailly !

Guillaume, libraire Charlemagne Toulon

Surdoué de la mémoire, passionné de listes, Paul El Kharrat a un énorme capital sympathie. Il n’en fallait pas moins pour se plonger avec curiosité et bienveillance dans son monde…

Sa lucidité et sa sincérité désarmantes nous offrent le récit de sa souffrance psychologique, les affres de son hypersensibilité sensorielle… Deux des principales difficultés insurmontables ou presque du quotidien des autistes.
Mais le récit ne verse jamais dans le pathos… On rit car Paul a un sens de l’humour décapant !

Son livre autobiographique nous livre les différentes étapes rencontrées jusqu’à son diagnostic… Il est alors âgé de 16 ans.
Il nous explique alors sa chambre forte : une mémoire, un savoir empirique comme une bibliothèque monumentale, sans filtre, où tout est enregistré. Il définit son syndrome non comme une maladie ou une pathologie mais se surprend à dire « je ne guérirai jamais ».

Sa passion des listes l’amène à établir une « liste chronologique exhaustive des décès du monde connu, calendrier grégorien » !!
Le monde idéal que décrit Paul est une chimère que l’on souhaiterait tous, un monde respectueux, éthique, pacifique et harmonieux. Le nôtre, insupportable chaos l’entraîne dans une révolte profonde.

Nous sommes tous l’autiste de l’autre… et les gens normaux sont neurotypiques… Voilà de quoi changer notre regard, et ça, c’est essentiel !

Géraldine, libraire Charlemagne Toulon