- Format
- Broché
- EAN13
- 9782364452237
- ISBN
- 978-2-36445-223-7
- Éditeur
- Pierre de Taillac éditions
- Date de publication
- 09/09/2022
- Collection
- MEMOIRES ESSAIS (1)
- Nombre de pages
- 240
- Dimensions
- 24,6 x 19,3 x 2,2 cm
- Poids
- 662 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Un artilleur de marine sous l'Empire
Les souvenirs de Pierre-François Le Maire (1790-1848)
De Christian Benoît, Antoine Champeaux
Pierre de Taillac éditions
Memoires Essais
Pierre-François Le Maire s’engage en 1805. Après deux années passées à Rochefort à défendre les côtes, il est nommé sergent et embarque à bord de la Flore, qui le conduit en Méditerranée pour faire la course aux forceurs de blocus. En 1809, la Flore est envoyée en station à Corfou puis en 1811 prend part à la désastreuse bataille de Lissa avant de faire naufrage au large de Venise.
Sauvé de justesse, Le Maire rejoint Cherbourg. À peine nommé officier, il est affecté à l’armée d’Allemagne au début de 1813, combat à Lützen, Bautzen, Dresde, où il est fait prisonnier. Libéré, il rejoint Rochefort. Pendant les Cent-Jours, il combat les Vendéens. Mis en demi-solde, il végète à Paris jusqu’en 1817 quand il est rappelé et gagne Toulon. Il mène une vie sédentaire sans attrait et, après un dernier embarquement qui lui fait entrevoir la nouvelle mission coloniale de son arme, il est mis à la retraite. Peu après il devient conservateur de la bibliothèque du port.
Ses mémoires mêlent l’évocation de ses combats, le récit de ses amours multiples et la description des pays et des populations qu’il visite. Ses souvenirs inédits font, pour la première fois, découvrir la vie d’un artilleur de marine du Premier Empire.
Préface de Thierry Lentz
Avant-propos du général François Lecointre
Sauvé de justesse, Le Maire rejoint Cherbourg. À peine nommé officier, il est affecté à l’armée d’Allemagne au début de 1813, combat à Lützen, Bautzen, Dresde, où il est fait prisonnier. Libéré, il rejoint Rochefort. Pendant les Cent-Jours, il combat les Vendéens. Mis en demi-solde, il végète à Paris jusqu’en 1817 quand il est rappelé et gagne Toulon. Il mène une vie sédentaire sans attrait et, après un dernier embarquement qui lui fait entrevoir la nouvelle mission coloniale de son arme, il est mis à la retraite. Peu après il devient conservateur de la bibliothèque du port.
Ses mémoires mêlent l’évocation de ses combats, le récit de ses amours multiples et la description des pays et des populations qu’il visite. Ses souvenirs inédits font, pour la première fois, découvrir la vie d’un artilleur de marine du Premier Empire.
Préface de Thierry Lentz
Avant-propos du général François Lecointre
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
Les troupes coloniales dans la campagne de France - septembre 1939-juin 1940Paul Gaujac, Éric Deroo, Antoine ChampeauxHistoire et collections
-
La Caraïbe dans l'histoire militaire de la France - de la flibuste au service militaire adaptéMarie-Reine de Jaham, Antoine Champeaux, Robert MonsterleetLavauzelle
-
Forces noires des puissances coloniales européennes - actes du colloque organisé les 24 et 25 janvier 2008 à Metz..., actes du colloque organisé les 24 et 25 janvier 2008 à Metz...Antoine Champeaux, János Riesz, Éric DerooLavauzelle
-
Le débarquement de Provence, Actes du colloque international organisé les 5, 6 et 7 octobre 2004 à Fréjus au Centre d'histoireAntoine Champeaux, Paul GaujacLavauzelle
-
La liberté en Italie vue par les artistes du Dépôt de la guerre, 1796-1797, dessins et aquarelles de la collection du ministre de la défenseFrance, Service historique de l'armée de terreService historique de l'armée de terre
-
Le canon de 75 une gloire centenaire - Service historique de l'armée de terre., une gloire centenaireChristian BenoîtService historique de l'armée de terre.