- Format
- Broché
- EAN13
- 9782350465951
- ISBN
- 978-2-35046-595-1
- Éditeur
- Filigranes
- Date de publication
- 17/10/2023
- Collection
- CARNETS - LE (1)
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 16,5 x 12 x 1,5 cm
- Poids
- 184 g
- Langue
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Rencontre Anne Rearick
Le Cheval de Monsieur Peillon
Photographies de Anne Rearick
Filigranes
Carnets - Le
En 2021 et 2022, Anne Rearick est venue passer quelques mois dans le Perche auprès des habitants, de leurs animaux et de leurs paysages. Sa photographie dépeint l’expérience quotidienne des univers dans lesquelles elle s’immerge et qu’elle célèbre avec délicatesse.
“Débarrassée de tout projet globalisant, elle laisse chacun s’exprimer tour à tour avec des regards, des poses, des gestes, un mouvement et elle renoue justement avec cette photographie profondément humaniste qui ne regarde jamais son nombril, qui ne cherche pas son ego ou son identité mais va à la rencontre de l’autre, son égal” (Christian Caujolle).
Aux États-Unis, en Afrique du Sud, au Pays Basque, à Sète, comme dans le Perche, elle porte ce même regard généreux sur les êtres pour capter des images qui veulent, avant tout, dire le plaisir de l’instant et la qualité de la rencontre. En complément de ce riche travail photographique, Rémi Coignet connaisseur de la photographie américaine et interviewer émérite a conversé longuement avec l’artiste.
Travaillant sur des sujets au long cours, Anne Rearick s’inscrit dans la grande tradition photographique documentaire, en s’attachant principalement au quotidien et à la ruralité. Recherchant une forme d’intemporalité, elle magnifie le banal en s’intéressant à la nature et à l’environnement des personnes qu’elle rencontre, tout en gommant les signes ou les objets (comme les marques et logos) qui distraient les spectateurs de l’authenticité de sa narration. Elle s’immerge le plus souvent dans des lieux à forte identité, explorant la notion de communauté, centrale dans son travail
“Débarrassée de tout projet globalisant, elle laisse chacun s’exprimer tour à tour avec des regards, des poses, des gestes, un mouvement et elle renoue justement avec cette photographie profondément humaniste qui ne regarde jamais son nombril, qui ne cherche pas son ego ou son identité mais va à la rencontre de l’autre, son égal” (Christian Caujolle).
Aux États-Unis, en Afrique du Sud, au Pays Basque, à Sète, comme dans le Perche, elle porte ce même regard généreux sur les êtres pour capter des images qui veulent, avant tout, dire le plaisir de l’instant et la qualité de la rencontre. En complément de ce riche travail photographique, Rémi Coignet connaisseur de la photographie américaine et interviewer émérite a conversé longuement avec l’artiste.
Travaillant sur des sujets au long cours, Anne Rearick s’inscrit dans la grande tradition photographique documentaire, en s’attachant principalement au quotidien et à la ruralité. Recherchant une forme d’intemporalité, elle magnifie le banal en s’intéressant à la nature et à l’environnement des personnes qu’elle rencontre, tout en gommant les signes ou les objets (comme les marques et logos) qui distraient les spectateurs de l’authenticité de sa narration. Elle s’immerge le plus souvent dans des lieux à forte identité, explorant la notion de communauté, centrale dans son travail
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